Jamais une difficulté n’est niée, le positif en sophrologie n’est pas le pays des bisounours.
Le positif en dehors de Coué se rapproche d’une façon plus moderne, de la méthode Schultz.
- Il reste les douces contractions détentes de Jacobson, calées sur la respiration, pour ses effets physiologiques bénéfiques.
- Enfin les courants philosophiques, comme la phénoménologie, favorisant une posture de découverte et de non jugement ; le Zazen, ou encore la pensée de Platon.
La méthode est riche d’inspirations, et en même temps cadrée pour s’adapter au groupe et à l’intention de la séance. La sophrologie est une approche centrée sur la personne et non sur la maladie ou le symptôme. Elle ne remplace pas un suivi médical.
Voici la version courte d’une définition donnée par Norbert Cassini ( directeur de l’Ecole Française de Sophrologie )
« La sophrologie se définit comme une discipline appartenant aux sciences humaines, spécialisée dans l’étude et le développement de la conscience. Elle se caractérise par le fait d’être avant tout une pratique à point de départ phénoménologique.
Elle développe la connaissance de soi et permet de mobiliser les ressources qui existent dans tout être humain, dans une intention d’autonomisation et d’épanouissement.
Elle s’est tout d’abord développée dans le milieu de la santé pour s’étendre ensuite dans le domaine du sport, du développement personnel, de l’entreprise ainsi que dans les secteurs sociaux et éducatifs. »
Je m’excuse en amont, pour les personnes chauves, car j’aime ce clin d’œil, ce proverbe chinois.
« L’expérience des autres est un peigne pour les chauves »
Vous l’avez compris, nous vous invitons et vous encourageons à venir vivre votre expérience de pratiques sophrologiques.
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